Je ne me rappelle plus précisément où j’ai lu que Forever Amber évoquait des groupes comme les Zombies ou le Pink Floyd des débuts (66/68), mais celui qui a écrit ça doit se terrer au fin fond du Nicaragua à l’heure qu’il est ! Mon dieu – lui qui sait que je ne crois en rien, même pas en lui – pourquoi ai-je accepté de parler de ce groupe !! Même si les titres de leur immonde… pardon, unique album sont courts (environ 2’30 ou 3’) le déroulement semble interminable. Les premiers morceaux rappellent avec 5 ou 6 ans de retard les Beatles (Help ! arrêtez le massacre), c’est terriblement naïf et ennuyeux.
Mais autant vous le dire, nous avons affaire à un concept album, qui décrit les cycles de l’amour (comme son nom l’indique, oui) ce qui pourrait expliquer la mièvrerie du début, bon, accordons-leur ce doute… Puis arrive on ne sait quel sentiment sensé être conceptualisé, et les mecs découvrent la fuzz et électrifient leur orgue de bananerie. Un petit crochet baroque dit pardon, une rythmique heavy s’excuse, et 3 ou 4 titres plus tard tout a disparu ! Et ce n’est pas parce qu’ils se prennent pour Cream sur un titre ou deux qu’il faut aussitôt leur adresser nos félicitations… Écoutez donc les plages 5-7-9 et les 6-8-10 si vous avez du temps à perdre, le reste est chiantissime et même, oserais-je le dire, d’un mélodieux à faire éternuer ma grand-mère. Si je tenais ce salaud de Mark Chapman, je l’étranglerais de mes propres mains.
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